« Ça fait 12 ans que je travaille ici. J’aurais dû le faire plus tôt. »
Elia fait en sorte que le courant passe, littéralement. En tant que gestionnaire du réseau à haute tension belge, Elia veille chaque jour à acheminer l'électricité vers nos entreprises, nos villes et nos villages. Michel, technicien, et Pascal, contremaître dans le service lignes et câbles partagent leurs expériences.
« Ce que nous faisons en quelques mots ? Assurer l’entretien de notre réseau et l’approvisionnement en électricité » nous explique Michel. « Personnellement, je m’occupe beaucoup des élagages autour des grands pylônes qu’on voit le long des routes. On s’assure que la végétation ne soit pas trop proche des lignes. Je m’occupe également de la mise au travail en sécurité de nos contractants lors de chantiers de réparation et d’entretien sur les pylônes. Pour ce faire, je dois mettre les lignes hors service. »
L’ADN d’un employé Elia ? C’est la curiosité.
Pascal : « La personne qui rentre chez Elia, c’est quelqu’un de curieux, quelqu’un qui a envie d’évoluer. Il y a beaucoup de possibilités au sein d’une belle société à la pointe de la technologie. »
Michel : « En effet, les nombreuses formations sont un gros avantage chez Elia. On a toujours une possibilité d’évoluer dans un domaine ou de changer un peu d’optique de carrière. Même si moi, je suis très bien à ma place. (rires) »
Liberté et confiance.
Michel : « Ce que j’aime chez Elia, c’est la liberté, la confiance et la responsabilité qu’on nous donne. Mais aussi la variété au niveau du travail, c’est très loin d’être monotone. Ça fait 12 ans que je travaille ici. J’aurais dû le faire plus tôt. En plus, la rémunération est très bonne, avec beaucoup d’avantages. »
Fier de travailler chez Elia
Michel : « Je m’occupe aussi du projet Life Elia, l’aménagement de couloirs pour la biodiversité sous les lignes à haute tension. Au lieu de couper toute la végétation, on apporte quelque chose de plus grâce à la ligne à haute tension. Nous créons des mares, on voit de batraciens qui reviennent, des libellules qu’on ne voyait plus. Oui, franchement, ça c’est une fierté. »