Chez Elia, hommes et femmes sont sur un pied d’égalité
En 2014, Elia a été la première entreprise du Bel20 à compter 35 % de femmes dans son conseil d’administration. Le gestionnaire de réseau a réussi à étendre cette tendance à toutes les couches de l’entreprise. Ces trois exemples montrent que les femmes ont également leur place dans un environnement technique.
Barbara Verhaegen (46 ans) – Manager Communication Interne & Culture
« Je suis ingénieur commercial de formation et ai toujours été passionnée par la communication. Après avoir travaillé pendant de nombreuses années dans un environnement créatif au sein d’une agence de communication, j’ai été nommée porte-parole d’Elia en 2013. Je suis ensuite passée de la communication externe et de projet à la communication interne. Aujourd’hui, je dirige également le programme de changement de culture MAD (Make A Difference).
Comment Elia souhaite-t-elle promouvoir une forte culture d’entreprise ?
« Nous y parvenons en encourageant six comportements, dont le feedback, la simplification et l’impact, parmi nos employés. Nous espérons ainsi faire de ces comportements une partie centrale de l’ADN d’Elia. Nous procédons sur base de séances d’inspiration, d’ateliers ou de discussions d’équipe. De plus, nous avons également constitué un réseau composé de « champions MAD » ou ambassadeurs du programme, qui nous aident à développer des actions adaptées aux différentes équipes. Faire évoluer une culture prend du temps. Mais c’est essentiel pour pouvoir réaliser notre stratégie ! »
Anneleen Van Melkebeek (35 ans) – Commissioning Manager
« Je suis responsable d’équipes de techniciens chargés de la sécurité du réseau et je veille au bon avancement de projets d’infrastructure sur le terrain. Tout au long des douze années que j’ai passées chez Elia, je me suis vue offrir de nombreuses opportunités d’occuper de nouveaux postes en interne. J’ai ainsi commencé en tant que starter, avant d’occuper le poste de Business Analyst. Ensuite, j’ai commencé à travailler sur des projets d’infrastructure en qualité de chef de projet, chef d’équipe et gestionnaire de programme, pour enfin occuper mon poste actuel. »
En tant que femme, avez-vous déjà rencontré des difficultés dans le monde technique ?
« Lors de mes études en sciences mathématiques et, plus tard, d’ingénieur, j’étais déjà plongée dans un monde masculin (rires). Chez Elia, tout le monde est sur un pied d’égalité. Il est normal que chacun soit traité de la même manière, mais hélas, il n’en demeure pas moins que les études et formations techniques intéressent principalement les hommes. »
Elsa Celens (49 ans) Program Manager Controlling
« Personnellement, je n’ai jamais rencontré de problème à cet égard. Chez Elia, peu importe que vous soyez un homme ou une femme, du moment que vous faites bien votre travail. »
Avez-vous constaté une évolution à ce sujet ?
« Absolument (rires). Quand j’ai débuté ici il y a plus de 20 ans, j’étais la seule femme de mon service. Les femmes n’occupaient alors que des postes administratifs. Tous les emplois liés à des projets étaient pourvus par des hommes. Heureusement, ce n’est plus le cas, et aujourd’hui, beaucoup de femmes occupent des fonctions techniques. »
En quoi Elia est-elle une entreprise attrayante pour les jeunes femmes ?
« Eh bien, je pense qu’Elia a beaucoup à offrir. Vous avez de multiples possibilités d’évolution et de formations. De plus, vous travaillez dans un environnement passionnant, qui a un impact direct sur la société. »
Metro, 2020